jeudi 31 juillet 2008

Nouveau concept chez NETTO

Pour information, voiçi le nouveau concept du discounter NETTO d'INTERMARCHE.

Il est testé à Macon.

Cliquez sur le titre pour voir la vidéo...

Présentation du Conseil d'Administration


Voici un article présentant les membres élus au nouveau Conseil d'Administration.

A noter tout de même que Bernard Arnault a été hué par les actionnaires en raison de son absence.

Quelques précisions biographiques concernant certains membres influents :

Nicolas BAZIRE – 51 ans
Elu avec 91% des voix

Il est le directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Balladur, entre 1993 et 1995.
En 1999, il devient alors directeur général du Groupe Arnault, fondé par Bernard Arnault, ainsi que du pôle presse de LVMH, DI Group (La Tribune, Investir, etc.), et directeur du développement et des acquisitions de LVMH.
Depuis octobre 2006, il dirige aussi le fonds d'investissement, doté de 3 à 4 milliards d'euros, créé par Albert Frère et Bernard Arnault. Le 30 avril 2007, il rejoint le conseil de surveillance de Carrefour.
Il est depuis 1993 un proche de Nicolas Sarkozy et un de ses conseillers personnels. Il a été son témoin lors de son mariage avec Carla Bruni le 2 février 2008. Il est élu conseiller municipal au premier tour dans la commune de Bourville (76740) en mars 2008.

Sébastien BAZIN – 47 ans
Elu avec 95,8 % des voix

Directeur du fonds d’investissement Colony Capital en Europe. Actionnaire majoritaire du club de football le PSG depuis 2007. PDG de Lucia, un groupe de sociétés spécialisées dans les placements et la gestion immobilière.


Thierry BRETON – 53 ans
Elu avec 91% des voix

Président directeur général de Thomson (1997-2002) puis de France Telecom (2002-2005), il a été Ministre français de l'économie, des Finances et de l'industrie entre le 25 février 2005 et le 16 mai 2007.
Depuis juillet 2007, il est professeur d'économie à l'Université Harvard, aux États-Unis.
Il était préssenti pour remplacer José-Luis DURAN.

René BRILLET est l'ancien directeur de l'Asie. C'est le seul membre qui a réellement une culture d'entreprise "Carrefourienne". Il a débuté sa carrière comme ELS au Textile. Respect...beau parcours...

Cliquez sur le titre pour lire l'article de l'Express...


vendredi 25 juillet 2008

Manifestation du 23 Juillet à Paris

La CFE-CGC a organisé une manifestation le 23 Juillet à Paris.

Cliquez sur le titre pour voir la vidéo dans laquelle le président de la CFE-CGC expose quelles répliques seront mises en oeuvre pour lutter contre l'application de cette loi.

Duran marginalisé par les actionnaires

Cliquez sur le titre pour lire l'article de Capital

lundi 21 juillet 2008

Nouveau site de la CFE-CGC pour l'handicap

Un nouveau site spécialement dédié à l'insertion des travailleurs handicapés a été créé par la confédération CFE-CGC. Cette volonté s'inscrit dans une démarche citoyenne d'aider les travailleurs handicapés à participer activement à l'essor de notre économie. Ce n'est pas utile d'avoir BAC + 15 pour comprendre que l'intérêt des handicapés aptes au travail et l'intérêt collectif de la société dans son ensemble réside dans leur intégration au sein du tissu social.
Le rôle d'un syndicat, digne de ce nom, ne se résume pas à manifester. Il doit proposer, négocier et influer sur les centres de décisions.
Cliquez sur le titre pour accéder à ce site (même si vous n'êtes pas concerné). Le nombre de connexions à ce site peut aider nos négociateurs nationaux à influer sur les décideurs. Merci.

dimanche 20 juillet 2008

Duran sur la sellette



Cliquez sur le titre pour lire l'article paru dans Le Figaro

A noter : Bernard Arnault a perdu le "titre" d'homme le plus riche de France au profit de...Gérard Mulliez (fondateur d'Auchan).


lundi 14 juillet 2008

Le nouveau modèle commercial

Voici un reportage réalisé à Carrefour Paimpol qui explique clairement à quoi ressembleront tous les magasins Carrefour dans un avenir proche.

Cliquez sur le titre pour le visionner

Le client avant l'actionnaire

En 16 mois, depuis mars 2007,le tandem Arnault-Colony a donc “brûlé” un milliard d’euros.
Pire encore, valorisé moins de 22 milliards, la totalité de Carrefour vaudrait désormais moins que ses actifs immobiliers au début de l’an dernier
Le résultat est là. Voilà le groupe fragile comme jamais alors qu’il était il y a peu un fleuron de l’économie française. Le spectre d’une OPA n’est pas qu’un fantasme.
Et l’inévitable parallèle avec Antoine Bernheim, patron d’Euromarché lors de la disparition de l’enseigne, ne serait pas si saugrenu... Antoine Bernheim avait géré “Euromarché” comme un banquier, en imaginant simplement qu’il suffirait d’accroître les marges pour doper les profits. Erreur fatale !
Bernard Arnault n’a certes pas ce niveau de naïveté. Pour autant, la “financiarisation” de la vie quotidienne du groupe est là et bien là.
Jusque dans la sémantique de José Luis Duran. A son arrivée aux commandes il y a 3 ans, il déclarait : “Notre nouveau modèle économique prend forme, basé sur une croissance durable du chiffre d’affaires, plutôt que sur une expansion des marges commerciales comme par le passé”. Mercredi dernier, présentant les chiffres d’affaires du premier semestre à la communauté financière, le même José Luis Duran classait au rang des “priorités du groupe” la “création de valeur pour les actionnaires”. Antoine Bernheim, avant de condamner Euromarché, ne raisonnait pas autrement. Car cette “priorité” (dont on imagine aisément qu’elle est là pour la satisfaction de Bernard Arnault) revient à placer l’actionnaire avant le client. Ce qui n’a jamais constitué une stratégie pérenne. Non (et re-non), la satisfaction de l’actionnaire n’est pas la priorité d’une entreprise, même si elle peut en être la finalité. La Mère des priorités est bien la satisfaction du client dont peut ensuite découler la satisfaction de l’actionnaire par un “retour” plus ou moins important.

A l’heure où la bourse fragilise Carrefour, le groupe doit plus que jamais s’appuyer sur les fondamentaux qui ont fait son succès 40 ans durant. Et le rôle du premier de ses actionnaires est de l’y aider et non d’orienter le management dans une direction dangereuse. Supprimer une opération promotionnelle parce qu’elle est coûteuse ainsi que Carrefour l’a fait cette année en ne renouvelant pas l’opération “- 50 %” sur avril ? Une erreur. Sur le fond, la promo a-t-elle une autre mission qu’être cette goutte de perte dans un océan de profit ? Plus généralement, la politique commerciale de Carrefour doit gagner en constance (qui se souvient encore de la ligne rouge Alerte Prix ?) avec une seule ambition : le client d’abord.
Ensuite, et seulement ensuite, l’actionnaire. Et pas l’inverse. Sauf à vouloir singer Euromarché qui, en son temps, avait finalement été avalé par... Carrefour.

jeudi 10 juillet 2008

Interview du président de la CFE-CGC

La CFE-CGC n'acceptera pas le hold-up social organisé par le gouvernement. Les cadres ne doivent pas être corvéables et soumis. Il faut que cela se sache, il faut que cela se remarque. Mais pour ce faire, il va falloir mettre de côté les ambitions strictement personnelles et individualistes qui font que nos dirigeants pensent qu'ils ont de toute façon affaire à des moutons de panurge dociles et faciles à manoeuvrer (voire à exploiter pour certains bas salaires). Ils sont doués pour agir sur ce paramètre. Il faut en prendre conscience.

mercredi 9 juillet 2008

Micro trottoir...sur le temps de travail

De très bonnes réflexions frappées de bon sens...

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Travailler plus pour gagner plus ?

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lundi 7 juillet 2008

Communiqué de presse CFE-CGC

Temps de travail :

nouveau recours au niveau européen de la CFE-CGC


Avec le projet de loi portant réforme du temps de travail, une nouvelle fois le forfait jour évolue et malheureusement pas dans un sens favorable aux attentes des salariés concernés : maintien des 13 heures de travail journalier (10 heures actuellement pour les salariés dont le temps de travail est décompté en heures) et surtout extension du plafond maximum légal à 235 voire 250 jours suivants les amendements des uns et des autres avec une majoration minimum de 10 % par jours travaillés au-delà des 218 jours de plafond actuel.

Cela ne peut satisfaire les salariés concernés : en effet, pour ceux qui souhaitent respecter leur équilibre entre vie privée et vie professionnelle, cette augmentation du nombre de jours ne répond pas à leur choix, quant à ceux qui souhaitent voir leur rémunération augmenter, la majoration envisagée est bien en deçà des 25 % de majoration existant en ce qui concerne les heures supplémentaires.

Pourtant, suite à deux recours effectués par la CFE-CGC auprès du Comité européen des droits sociaux, le Conseil de l’Europe a jugé le forfait horaire contraire à la Charte Sociale Européenne.

Pour toutes ces raisons, à la promulgation de cette « nouvelle » loi, la CFE-CGC portera un nouveau recours au niveau européen pour discriminations tant sur la durée du temps de travail (13 heures par jour au lieu de 10) que sur le niveau de majoration des jours supplémentaires (15 % minimum au lieu de 25 %).

Espérons qu’au moment où la France a la présidence de l’Europe, cela ne se traduise pas par une nouvelle condamnation de sa politique sociale.